Le deuil périnatal
"J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre"
Nelson Mandela

Quand le silence s’invite trop tôt
Perdre un bébé, même très tôt dans la grossesse, est une épreuve profondément bouleversante. En Suisse, une femme sur cinq vit une fausse couche, le plus souvent de manière soudaine, au cours du premier trimestre.
Cet arrêt spontané, bien que fréquent, reste souvent entouré de silence. Il laisse place à une douleur intime, un mélange d’impuissance, de tristesse, de colère, et une profonde solitude que l’entourage peine parfois à comprendre.
Chaque parcours est unique, chaque perte l’est aussi. Et pourtant, tant de parents gardent leur souffrance en eux, faute d’un espace bienveillant où déposer ce qui a été vécu. C’est pour cela que je vous propose un accompagnement en douceur, à votre rythme.
Un espace d’écoute, de parole et de reconnexion à vous-même, pour honorer votre vécu, retrouver du sens, et avancer pas à pas sur ce chemin de deuil.

Quand la décision devient une épreuve
Qu’elle soit médicale (IMG) ou volontaire (IVG), l’interruption de grossesse confronte les parents à une décision profondément intime, souvent déchirante : celle de poursuivre ou d’arrêter une grossesse.
Cette décision, même lorsqu’elle est prise avec conviction ou nécessité, peut laisser des traces douloureuses. Culpabilité, peur, doutes, et des questionnements lourds autour de la souffrance du bébé ou de la légitimité de son propre chagrin peuvent surgir.
Dans le cadre du deuil périnatal, il est particulièrement difficile d’accepter que ce soit votre propre choix qui ait mis fin à la vie de ce tout-petit.
Ce paradoxe entre volonté et perte peut créer un conflit intérieur intense, souvent isolant, et encore trop peu reconnu.
Mon accompagnement vous offre un espace sécurisé pour explorer ces émotions, déposer ce que vous portez, sans jugement, et avancer vers une forme d’apaisement. Vous avez le droit de souffrir, le droit de parler, et surtout, le droit d’être accompagné·e dans cette traversée.

Quand le cœur s’arrête et que tout bascule
On s’attendait à entendre battre un cœur...mais c’est le silence qui a répondu.
Entre la 16e et la 18e semaine de grossesse, parfois bien au-delà, certaines familles sont confrontées à une réalité brutale, inattendue : celle de l' arrêt du cœur du bébé in utero.
Entre la 16e et la 18e semaine de grossesse, parfois bien au-delà, certaines familles sont confrontées à une réalité brutale, inattendue : celle de l' arrêt du cœur du bébé in utero.
Commence alors un chemin difficile, celui d’un accouchement que l’on ne voulait pas, pour donner naissance à un bébé qui ne vit pas. Un paradoxe bouleversant, souvent incompris.
Face à cette épreuve, les émotions sont immenses : un sentiment d’impuissance, de colère, d’injustice, de tristesse profonde, parfois un désespoir total. Le quotidien se teinte d’une douleur silencieuse que peu de mots peuvent vraiment apaiser. Dans ce moment hors du temps, il est essentiel d’être entouré·e avec bienveillance, sans jugement.
Mon accompagnement vous propose un espace pour poser ce que vous traversez, pour reconnaître la réalité de votre vécu, et peu à peu, pour retrouver un souffle dans l’après.

Quand l’espoir se heurte au choc de la perte
Une césarienne d’urgence, un accouchement compliqué, une réanimation...
Autant de situations qui plongent les parents dans un moment de bascule brutal et traumatisant.
Vous étiez dans l’attente, concrète, intense, de ce bébé que vous alliez bientôt tenir dans vos bras...et tout s’effondre.
Vous étiez dans l’attente, concrète, intense, de ce bébé que vous alliez bientôt tenir dans vos bras...et tout s’effondre.
C’est une double violence : celle d’avoir vécu une naissance sous tension extrême, et celle de devoir faire face à l’annonce, au vide, au départ.
Vous pensiez rentrer avec votre enfant. À la place, il faut trouver les mots pour annoncer l’inimaginable à vos proches.
Vous pensiez rentrer avec votre enfant. À la place, il faut trouver les mots pour annoncer l’inimaginable à vos proches.
S’en suivent souvent l’incompréhension, l’injustice, un sentiment d’irréalité... et une douleur que le monde autour peine à reconnaître, tant elle dépasse l’imaginable. Je vous propose un espace d’écoute et d’accompagnement pour déposer ce vécu unique, bouleversant. Un lieu où chaque émotion a sa place, où chaque mot est accueilli sans jugement pour que le chemin du deuil puisse, doucement, commencer à se tracer.

Le chemin d'un deuil périnatal c'est aussi
- Quand chaque pas vers un enfant demande courage et patience
- Quand choisir de ne pas devenir parent est un chemin respecté
- Quand la vie continue pour un jumeau, dans le silence de l’absence
- Quand un nouveau-né vient après la perte